Sorti: November 2019

PRESENTATION:

PISTE PAR PISTE:

Dance Me To The End Of Love - On n'est pas obligé de savoir que la chanson a été inspirée par une photographie que Cohen a vue dans sa jeunesse d'un orchestre dans un camp d'extermination de l'Holocauste - mais cela ajoute certainement une perspective différente ....

Famous Blue Raincoat - Écrit sous forme de lettre, avec une référence obscure à la Scientologie (To Go Clear, c'est se débarrasser de toute négativité), ce chant envoûtant révèle à la fois la profondeur de la spiritualité et de la générosité de Leonard Cohen. Fait intéressant, il a déclaré qu'il avait toujours trouvé les paroles trop hermétiques.

Suzanne - La chanson la plus populaire de Cohen - et l'une des premières qu'il a jamais enregistrée. Une chanson sur la confiance - et ironiquement, si Cohen n'avait pas eu confiance en sa maison de disques, ses droits ne lui auraient pas été refusés. Il n'a jamais fait un sou de Suzanne, ayant signé ce qu'ils ont appelé un contrat de compositeur-interprète standard.

If It Be Your Will - Cohen a qualifié cette chanson de prière murmurée. J'ai gardé son ton respectueux. L'accompagnement commence avec juste la guitare, puis s'épanouit avec un orgue vaguement religieux, des violons et un violoncelle. Merci à l'orchestre EastWest!

Take This Longing - C'est la première chanson de l'album sur Nico, le chanteur emblématique de Velvet Underground de Lou Reed dans les années 60. Une distillation parfaite du désir, de la passion non partagée. Je ne m'excuse pas pour les violoncelles lancinants.

Everybody Knows - Cohen avait déjà enregistré la version définitive au 4/4 de cette sombre analyse de la condition humaine, alors j'ai décidé de voir comment cela sonnait à un rythme reggae. Il faut admirer la précision de la vision prophétique de Cohen ...

Chelsea Hotel #2 - J'ai choisi un traitement très simple de cette jolie chanson: juste une guitare, une basse - et un soupçon de synthé dans la section instrumentale. Je l'ai arrangé aux accords légèrement plus jazzy que ceux utilisés par Cohen.

Stories Of The Street - Ce n'est pas une chanson de Cohen que vous entendez aussi souvent que les autres sur son premier album. Je l'ai inclus dans le mien parce que j'adore les paroles et que j'admire la mélodie. C'est une brillante évocation des contradictions que nous devons tous résoudre. J'ai souligné les guitares scintillantes avec la résonance des violoncelles

Hallelujah - Comment pourrais-je ne pas inclure cette chanson emblématique sur l'album? Je chante les couplets choisis par Cohen pour ses concerts ultérieurs. Avec Judy Blair à l'orgue Hammond tourbillonnant et au chant d'harmonie, Michel 'Coco' Correch à la contrebasse et Sophie Celdran aux harmonies vocales.

One Of Us Cannot Be Wrong - La deuxième chanson de l'album sur Nico, celle-ci met en valeur le don de Cohen pour l'humour ironique. Avec le magnifique saxophone montant d'Albert Casas.

Bird on the Wire - Juste moi, deux guitares et un peu de basse. Cette piste figurait à l'origine sur mon album Who Knows Where The Time Goes?.

Anthem - Cette chanson exquise s'ouvre sur un rythme doucement onduleux et monte vers un climax dramatique. La révélation que l'imperfection fournit l'illumination est profonde. Avec Michel 'Coco' Correch à la contrebasse.

The Window - Il y a tellement de grandes vers dans cette chanson, l'une des plus religieuses de Cohen. Laissons donc «bénir le bégaiement éternel du verbe qui se fait chair.». L'arrangement commence très doux et augmente progressivement en intensité.

That's No Way To Say Goodbye - L'album se termine avec cet air du début de la carrière de Leonard, qui devient d’une certaine manière élégaique.