"... une voix élégiaque et romantique et un jeu de guitare acoustique dextre ... " - The Big Takeover.com
"Les spectateurs convives se sont laissés porter par la douceur et le charisme de Michel longuement applaudi." - La Dépêche.
"On retiendra également la poésie ... des chansons de Michel Griffin." - La Semaine du Lot
"Les chansons brillent de mille feux... ... une maîtrise impeccable de la guitare" - Skope Magazine

Son album des chansons de Leonard Cohen - Dance Me To The End Of Love - est sorti le 28 novembre et s'est tout de suite monté jusqu'à numéro 1 sur la liste Dernières nouveautés de la musique Folk sur Amazon.fr et jusqu'au numéro 3 sur la liste équivalente aux USA. L'album a resté un des trois plus populaires en France pendant plus qu'une semaine. Il était encore dans les premiers 20 après deux mois.

"Born in Oxford, England, this well-traveled, tender-voiced troubadour’s early UK folk club/wine bar gigs and weekly BBC radio appearances led to him relocating to Paris, New York, and Switzerland. He finally settled down in Southwest France’s Lot Valley in 2000, where he co-founded the Cahors Folk Club in 2008 with fellow folk guitarist Mark Newman. (Located in a medieval castle in Labastide-Marnhac, Griffin regularly performs solo shows there, as well as duets with singers Anne-Em’ (Anne-Emmanuelle Marie) and Soledad (Sophie Celdran), and harmonica player Marcel ‘Frenchie’ Dègre.) Feel is his seventh album going back to 2004’s piano nocturne collection The Still Centre; on it, he expands upon the theme of his last three covers-speckled albums - 2008’s Who Knows Where the Time Goes?, and 2013’s Atlantic Avenue and live Ballads & Blues - by re-imagining 14 love songs from his ‘early hero’ Bob Dylan’s copious catalogue. Though his easygoing and elegant, English-accented croon doesn’t sound much like Dylan, he does resemble his other childhood hero Leonard Cohen (with hints of Nick Garrie and The Saints’ Ed Kuepper), especially on the stripped-down, ‘Suzanne’-like waltz ‘To Ramona,’ from 1964’s Another Side of Bob Dylan.
Still, Griffin manages to capture Dylan’s spirit and personality, and more generally the feeling of the 1960s folk music scene, through his elegiac, romantic delivery and dexterous acoustic guitar picking. On simply rendered, romantically craving ruminations like ‘Girl from the North Country’ (from 1963’s The Freewheelin’ Bob Dylan, later re-recorded with Johnny Cash for 1969’s Nashville Skyline), ‘Tomorrow is a Long Time’ (which Dylan first recorded live in 1963 at NYC’s still-going Town Hall, later released on 1971’s Greatest Hits Vol. II), and ‘One Too Many Mornings’ (from 1964’s The Times They Are A-Changin’; Griffin says it was the ‘first Dylan song I absolutely fell in love with’), you can almost imagine yourself sitting enraptured around the stage with your bohemian buddies in some smoke-filled 1960s Greenwich Village saloon. And on two 1975 Blood on the Tracks beauties, the bucolic ‘Simple Twist of Fate’ and lightly-brushed ‘If You See Her, Say Hello,’ and a slowed-down, serenading version of 1966 Blonde on Blonde’s ‘I Want You,’ his arrangements are delicate and dreamy, and his voice amorous and affecting. Even Dylan’s maudlin, gruffly-sung 1997 Time Out of Mind ballad ‘Make You Feel My Love’ sounds calming and candlelit under Griffin’s caressing touch.
As on ‘Make You Feel,’ Belgian Alexis Van Eekhout’s jazzy tenor sax adorns the stretched out, searching 1978 Street-Legal soliloquy ‘Where Are You Tonight? (Journey Through Dark Heat)’ (which also showcases the soulful backing vocals of Anne-Em’) and the punchier, playful 1965 Bringing It All Back Home paean (written as a portrait of Dylan’s future wife, Sara Lownds) ‘Love Minus Zero/No Limit.’ Meanwhile, the LP’s two final tunes, both from Freewheelin’. - a live rendition of ‘Don’t Think Twice, It’s Alright ’ (recorded in 2010 at the Cahors Folk Club in front of a coughing crowd) and Dylan’s adaptation of a traditional country blues song (first recorded in 1928 by Mississippi bluesman Bo Carter), ‘Corrina, Corrina’ - are enhanced by Dègre’s twangy harmonica. Whether you’re a die-hard Dylan devotee or a toe-dipping dabbler, you’ll cherish this chance to rediscover the legend’s sentimental side.
Download the album on iTunes or Amazon."- The Big Takeover.
Nous avons donné, Frenchie et moi, notre concert annuel à La Place de La Libération à Cahors le 27 juillet. C'était une excellente soirée, avec les terrasses du Café Velvet et Les Mets Saisons pleines à craquer. Les gens ont repoussé leurs tables pour se lever et danser, et nous avons fini par jouer quatre bis. Mes remerciements à Puk Nikolajsen et Laurence Canto pour ces photos qui évoquent quelque chose de l'ambiance. [Cliquer sur une photo pour l'agrandir.]

"Le 6ème album [par Michel Griffin] - magnifiquement produit - est maintenant disponible sur iTunes -
Feel my love : Michel Griffin Sings Bob Dylan’s Finest Lovesongs.
14 pistes, 51 minutes de pure joie.
La voix de Michel - toute velour & fumée - apporte une nouvelle vie aux paroles familières: de Simple Twist of Fate, par I Want You jusqu'à Make You Feel My Love,
qui est arrangé pour trois guitares et un saxophone et chanté avec tel sentiment qu'il va vous donner la chair de poule." -
Music-News.com

"Michel Griffin traite le vaste oeuvre de Bob Dylan avec le plus grand soin
sur le tendre
Feel my love : Michel Griffin Sings Bob Dylan’s Finest Lovesongs.
Avec des arrangements soigneusement délicats, les chansons
brillent et luisent. Le chant serve au devant et au centre comme il le
faut, avec la voix de Michel Griffin imbuant les chansons avec un sens de
l'intimité. Les plus petits détails importent le plus -- de
l'utilisation de saxophones à la finger-picking qui orne une grande
partie de l'album. ...
De loin le point culminant est le style
dépouillé de La fille du pays du nord. Michel Griffin
démontre sa maîtrise impeccable de la guitare dans ses moments
les plus calmes. ... Respectueux des originaux tout en offrant sa propre
prise sur ces classiques américains véritables,
Feel my love : Michel Griffin Sings Bob Dylan’s Finest Lovesongs simplement
étourdit." -
Skope Magazine

Ses ballades anglaises, il les chante dans la langue de Shakespeare mais communique beaucoup avec le public. Il se raconte, parle d'un ami cher perdu il y a 45 ans et pour qui il a composé une ballade qu'il offre au public. Ses souvenirs, il les joue à la guitare. Pour ce concert du jeudi de la place de la Libération, encore plus d'une centaine de personnes attablées et attentives ont pu se délecter également de blues magnifié par l'harmonica de Frenchie Dègre, discret et efficace. La mélancolie était palpable en cette fin d'été et les spectateurs convives se sont laissés porter par la douceur et le charisme de Michel longuement applaudi." - La Dépêche.

" Mardi soir à l'Espace Valentré plus de sept cent personnes s'étaient déplacées pour assister au concert donné par Judy Blair Quartet, Gary Brooker de Procol Harum (du fameux A whiter Shade of Pale), Toubib Jazz Band, Rag Mama Rag, Francesca Graziano & Limmie Snell, Mark Newman et Michel Griffin, organisé par le Rotary de Cahors, pour les sinistrés d'Haïti. Ses artistes ont mis généreusement leur talent au service de cette cause. La recette récoltée, prix des entrées, vente de maillots et boisons seront intégralement reversés à deux associations " Fondation Rotary " et " SOS enfants sans frontières ". L'argent servira principalement pour les orphelins et les orphelinats d'Haïaut;ti. " - La Dépêche du 11 Février 2010.
" Mark Newman et Michel Griffin, qu'on a eu le plaisir de découvrir au Carré d'Art, avaient pour redoutable mission d'ouvrir le bal. Deux chanteurs guitaristes rappelant sans servilité le duo Simon and Garfunkel, avec en plus la touche d'humour toujours maniée avec délicatesse par ces deux Britanniques terriblement quercynois. " - Jean-Louis Crassac dans La Vie Quercynoise du 18 Février 2010.
Il y a une Chaine YouTube ou on peut visionner des clips du concert.