Une traduction en français n'est pas encore disponible pour cette chanson.
Follow the tail-lights into the city Blinded by the love-light in your new love’s eyes New York has never looked so pretty Filigree of diamonds 'gainst a velvet sky ...
Tyres screaming down the FDR Feel the pull of the traffic in the hot night air There’s music playing, it's a saxophone The hips that are swaying, you can follow them home
Heat rising from the paving stones A song in your head that won't leave you alone; The beat on the street, a sudden spark Hungry hearts chasing hungry hearts ...
Follow the tail-lights into the city Blinded by the love-light in your new love’s eyes New York has never looked so pretty Filigree of diamonds 'gainst a velvet sky ...
Kaleidoscope colours swirling in the haze Ruby-red kisses in the urban maze The pulse of jazz on the Summer street A halo of light where the lovers meet ...
Follow the tail-lights into the city Blinded by the love-light in your new love’s eyes New York has never looked so pretty Filigree of diamonds 'gainst a velvet sky ...
Une chanson rhythmée qui capture les images, les sons et l'énergie de Manhattan,
comportant le saxophone sinueux d'Alexis Van Eeckhout et un solo de guitare
époustouflant de Chieli Minucci (de " Special EFX ").
Un à un, les grillons se taisent; les ombres recouvrent la colline en silence; Derrière la maison, l’air rafraichit: l’hiver s’installe.
Toi et moi, nous avons connu les saisons - Nous avons vu les bourgeons du printemps se transformer en fruits; Et à travers les saisons, c’est ici que nous prenons racine.
Pour toi, tout est toujours si clair, mais moi, je suis lent à apprendre; Certaines pages de notre histoire semblaient difficiles à tourner: Personne n’est fait de pierre.
D’ici on peut voit passer les oies sauvages Et le soleil qui glisse à l’horizon, rouge comme une sanguine Le vent va bientôt nous effleurer les visages.
Et pour la première fois depuis longtemps L’echo des rires d’été résonnent dans mon coeur; Pour la première fois depuis longtemps Je me sens au début du récit, Au début du récit.
Donne-moi ta main; tourne les yeux vers le soleil. Je comprends maintenant: notre histoire vient de commencer.
Pris dans les plis du paysage, je contemple la rivière et le crépuscule qui tombe; J’appartiens où se trouve ton coeur, sous cette lune pâle.
J'ai écrit cette chanson sur la colline derrière ma maison en France, quand le
soleil se glissait derrière l'horizon, et les grillons commenÇaient de se taire
... Je reflêchissais sur mes nouvelles racines.
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They sat together in the park As the evening sky grew dark She looked at him and he felt a spark tingle to his bones ’Twas then he felt alone and wished that he’d gone straight And watched out for a simple twist of fate
They walked along by the old canal A little confused, I remember well Stopped into a strange hotel with the neon burnin’ bright He felt the heat of the night hit him like a freight train Moving with a simple twist of fate
A saxophone someplace softly played As she was moving on by the arcade She heard the melody rise and fade, the sun was coming up, She dropped a coin into the cup of a blind man at the gate And forgot about a simple twist of fate
He woke up, she was gone He didn’t see nothing but the dawn Got outta bed and put his clothes back on And pushed back the blinds Found a note she’d left behind To which he just could not relate All about a simple twist of fate.
He hears the ticking of the clocks Walks alone through the city blocks Hunts her down by the waterfront docks Where the sailors all roll in. Maybe he’ll spot her once again. How long must he wait One more time for a simple twist of fate.
People tell me it’s a crime To feel too much for too long a time She should have caught me in my prime, She would have stayed with me. Instead of going off to sea, and leaving me to meditate upon that simple twist of fate.
Une des chansons les plus atmosphériques que Dylan ait jamais écrite.
L'arrangement gagne en intensité pendant que l'histoire se déroule. Les
paroles sont celles que Dylan a chanté pour la plupart de ses presque 700
performances de la chanson en concert.
Au-dessus de la vallée, se dresse une maison où je suis chez moi ; Elle a vécu bien des saisons - depuis longtemps ont disparu ceux qui l'ont construite. Je les imagine parfois, dans la lumière crue du matin, Ils bâtissent cette demeure en rondins et pierres brutes.
Je les imagine parfois, dans la lumière crue du matin, Ces compagnons d'antan, reprenant un refrain du passé ; Le soleil qui me chauffe a buriné leur peau, le vent qui me glace a gelé leurs os, La terre qui me porte leur a fourni les matériaux :rondins et pierres brutes.
Gardez vos palais dorés, et leurs faÇades de marbre ; Gardez la démesure de vos gratte-ciel, tout cela me laisse si froid ; Construisez tant que vous voudriez - les murs ne font pas le foyer ; Moi, je préfère l'authentique simplicité des rondins et pierres brutes.
Au fond de la vallée, se trouve un endroit qui sera chez moi : Là, j'irai me reposer, mon dernier travail achevé ; Gardez vos mausolées, vos urnes et vos cendres, Je préfère la calme noblesse des rondins et pierres brutes.
J'aime la simplicité honnète des vieilles maisons, construites
de pierre locale et les troncs d'arbre. J'ai choisi d'en
habiter une, et j'ai imaginée; que j'y mourrais. Avec l'accordéon
hallucinant de Gérard Lamolère.
Du café-bar à la grande route, il n’y a qu’un pas Des montagnes à la côte, la distance est bien longue. Si j’en crois son regard glissant sans cesse du comptoir à l’horizon, Notre rire a dû réveiller des fantômes.
Au loin, les lumières clignotent aux abords de la ville, Les cow-boys se retrouvent et regardent le soleil se coucher ; Il y a de la fumée et du feu, des rires et de l’espoir dans la vie à venir, Mais il me semble que le Destin fronce le sourcil.
Pleure, Amérique, pleure, sur ce qui est perdu, sur ce qui a été volé, Pleure, Amérique, pleure sur les pionniers d’antan, Car quelque part sur le chemin entre le rêve et la réalisation, Il me semble que tu as perdu ton âme !
Accoudée au comptoir, les yeux sur la route, La serveuse du café-bar regarde passer les voitures. Leurs conducteurs portent leur destination sur leur visage, Tels les cavaliers d’antan dont l’horizonétait le domicile.
Les infos du soir tremblent sur la télé dans un coin, Images de sang et de mort à vous retourner l’estomac. En essuyant ses verres, la serveuse se demande Comment une nation de réfugiés a bien pu, à son tour, se mettre à tuer ...
Pleure, Amérique, pleure, sur ce qui est perdu, sur ce qui aété volé, Pleure, Amérique, pleure sur les pionniers d’antan, Car quelque part sur le chemin entre le rêve et la réalisation, Il me semble que tu as perdu ton âme !
Une ballade 'country' qui voit le monde du point de vue d'une
serveuse américaine dans un resto routier, qui a envie de la
grande route et lamente les faux pas sur le chemin de son pays
vers le 'Rêve Américain'.