Tu tournes la tête, je sens ton regard, Je ne suis pas sûr, mais je crois lire dans tes pensées : Nous avons tant à nous dire et le temps semble trop court : Je nage dans tes yeux rieurs, j'ai du mal à trouver les mots. Je reste le souffle court et sans voix, Tournoyant dans le sillage de ton sourire.
Une demi-lune flotte sur les vagues, Il y a un million d'étoiles, et il y a toi et moi. Je te serre tout contre moi, je sens que le temps m'appartient, Je sens ton coeur battre tout près du mien, Je reste le souffle court et sans voix Dans le sillage de ton sourire.
Certains disent que l'amour est une illusion, Une confusion des désirs et des réalités ; Moi, je trouve que l'amour est une fusion fragile : Cherche à luiéchapper, il te tirera, il te tirera par la manche !
(Le sillage de ton sourire.) Une chanson pour capter la
magie de ces moments quand ton amant vous captive avec ses
yeux. Avec le sax de Alexis Van Eekhout et la contre-basse
rythmé de Michel 'Coco' Correch.
Une traduction en français n'est pas encore disponible pour cette chanson.
Who whips the cream for your morning coffee? Who shares your dreams? Who is combing your hair? What makes you smile? Who is keeping you laughing? Who shares your dreams, now that I’m not there?
Oh, there were times, before all the shouting, You’d swell my heart, till I thought it would burst. Yeah, there were times, on the side of the mountain When you were the stream, and I was thirst.
The moment we met, one look and I knew We’d be sharing each other before the night was through; You were looking for love, I was offering shelter, And that was enough: we paid passion her due.
And now I’m alone, with this guttering candle Which is etching in smoke the ghost of your smile: I’m left wondering how, at the turn of a handle, The warmth of your kisses turned colder than guile.
La chanson a un rythme presque Samba, avec son accompagnement délicat à la
guitare
espagnole. J\'ai écrit la chanson après l\'effondrement de mon premier mariage.
Le soleil brille, le brouillard se lève de la mer, Tout ce que nous étions, on peut régarder d'une autre façon; Je me souviens de ton petit sourire caché Je dois admettre - ça fait longtemps ...
Il souffle un vent chaud qui ne prévoit rien de bon pour personne Je ne peux pas savoir quand tu me quitterais, ni pourquoi; Le brouillard s'eclaircit, inconstant comme la mer, Les vagues se brisent au dessus de ma tête.
Les mouettes effleurent le crête des vagues Tu n'es pas la seule qui sent l'appel de l'horizon; J'ai su pour toujours que tu m'abandonnerais: Tes yeux ne pourraient jamais cacher la lourdeur de ton coeur.
Je ne vais jamais oublier les ailes de notre rêve; Tu étais la personne la plus belle que j'ai jamais vue; On peut dire que notre amour était condamné du départ Je sais seulement que je t'ai brisé le coeur.
Une évocation lyrique de ce moment ou on se rende compte qu'une relation à long
terme touche à sa fin. "Frenchie" Degré n'a jamais joué un harmonica aussi
touchant.
Les matins d'août, qui sortent lentement de l'ombre ; Les rubans de brûme qui habillent encore les falaises et les prés lointains ;
Je t'aime les matins, Quand l'aube cajole les oiseaux à chanter dans les arbres ; Et je t'aime, et tes yeux qui rient uniquement pour moi.
Les matins d'août se lèvent roses, dorés, et précis, Le premier souffle d'été caresse nos rideaux ; Et je t'aime les matins, Comme la lumière du soleil te reveille doucement de ton sommeil ; Et je t'aime, et tes yeux qui rient uniquement pour moi.
Les matins d'août, qui sortent lentement de l'ombre ; Les rubans de brûme qui habillent encore les falaises et les prés lointains ;
Je t'aime les matins Comme le soleil découvre la douceur de ta peau ; Et je t'aime, et tes yeux qui rient uniquement pour moi.
(Les matins d'août) Les guitares cristallines accueillent un matin d'été.
La voix est basse et chaude, et les douces harmonies sont de Maryline Dumont.
Quand je t'ai vu, pour la première fois, J'ai reconnu, pour la première fois, Ce que j'avais en moi, Qui était aussi en toi.
Quand ton regard, cette première fois, M'a transpercé le coeur, pour la première fois, J'ai eu tellement envie Que cela dure toujours.
Tu m'a liberé, pour la première fois, Quand on s'est rencontré, cette première fois, Tu m'a fait explorer, pour la première fois, Ce monde inconnu qui est en moi.
"Quand ton regard, cette première fois, m'a transpercé le coeur, pour la première
fois, j'ai eu tellement envie que cela
dure toujours ... " Une chanson d'amour qui commence en douceur et se termine en
crescendo avec cuivre et cordes.